1829AN – Aureus Marc Antoine – Marcus Antonius
Avers : ANT. AVG. III VIR. R. P. C (Antonius Augurus Triumviri Rei Publicæ Constituandæ, Antoine augure triumvir pour la restauration de la République) Trirème voguant à droite avec l’acrostolium. Revers : LEG XXII (Legionis duovincesimæ decimæ, de la vingt-deuxième Légion) Aigle légionnaire, “aquila” tournée à droite entre deux étendards, “signa”, (de la vingt-deuxième Légion). Ex NAC sale 27, 2004 8.03g Indice de rareté Atelier Patras Datation : 32 – 31 avant J.C. Matière : Or Gens : Antonia Référence : Non référencé Descriptif : Marc Antoine, après avoir rompu avec Octave, joignit ses forces à celles de Cléopâtre et rencontra celles d’Octave à Actium (31 avant J.-C.). La flotte d’Octave, commandée par Agrippa, gagna la bataille navale tandis que la flotte égyptienne s’enfuyait, bientôt suivie par Antoine qui se retira en Égypte avant de se suicider l’année suivante avant l’arrivée d’Octave à Alexandrie. Legio XXII Deiotariana La Legio XXII Deiotariana (legio vigesima secunda) était une légion romaine levée aux alentours de 48 av. J.-C. et disparue au cours du iie siècle, peut-être en Palestine lors de la révolte de Bar Kokhba entre 132 et 135, ou bien en Arménie, lors de la défaite d’Elegeia en 161 contre les Parthes. L’existence de la XXII Deiotariana est attestée pour la dernière fois en Égypte en 1191. Pendant ses deux cent années d’existence, la XXII remplit exclusivement des missions dans les provinces d’Asie et sur les frontières orientales de l’Empire romain. Son surnom vient de Déiotaros, roi celte de Galatie, et son emblème était peut-être un symbole Galate.
1793AN – Denier Marc Antoine – Marcus Antonius
Avers : ANT. AVG. III VIR. R. P. C (Antonius Augurus Triumvir Rei Publicæ Constituandæ, Antoine augure triumvir pour la restauration de la République) Trirème voguant à droite avec l’acrostolium. Revers : LEG XXVII (De la vingt-septième Légion) Aigle légionnaire, “aquila” tournée à droite entre deux étendards, “signa”. BNF 3.28gr Indice de rareté Atelier Patras Datation : 32 – 31 avant J.C. Matière : Argent Gens : Antonia Référence : B. 142 (Antonia) Descriptif : Marc Antoine, après avoir rompu avec Octave, joignit ses forces à celles de Cléopâtre et rencontra celles d’Octave à Actium (31 avant J.-C.). La flotte d’Octave, commandée par Agrippa, gagna la bataille navale tandis que la flotte égyptienne s’enfuyait, bientôt suivie par Antoine qui se retira en Égypte avant de se suicider l’année suivante avant l’arrivée d’Octave à Alexandrie. Pour l’ensemble des deniers des légions, M. Crawford a relevé une estimation de 864 coins de droit et de 960 coins de revers représentant une production massive, comprise entre deux et quatre millions de deniers. Le coût d’une légion était d’un million de deniers par an. Le navire de guerre de l’avers (source : marine-antique.net) : Il est quasiment identique sur toute la série. Il est figuré complet vers la droite. Il s’agit peut-être du navire amiral d’Antoine, un 5.De la coque sortent X rames figurées par un simple trait. A leur sommet un petit disque forme une série en surépaisseur de la préceinte haute. Celle-ci se prolonge vers la proue jusqu’à un proembolon et vers la poupe jusqu’à l’aplustre. On ne peut affirmer que chaque disque représente un sabord de nage car l’emplacement de certains à la proue et à la poupe seraient étranges.Les rames masquent la préceinte basse qui sert de support à l’éperon. Elle se situe peu au dessus de la quille. L’éperon de ce navire est un éperon trident à 3 lames. La proue verticale est une arme de combat doté de l’éperon trident et du proembolon. Elle est surmontée d’un faux-stolos à volute qui sert de protection au pont et à l’abri de proue qui est surmonté d’un étendard.La poupe s’élance vers l’arrière par une courbure légère. Elle se termine par un aplustre à 5 branches fixées sous un disque. Un abri sur le pont à la poupe fait la symétrie avec celui de la proue. Le gouvernail dispose de 4 globules sur son axe vertical. Sur le pont, entre les deux abris, on distingue X globules qui représentent la tête de passagers ou des marins. LEG XXVII La legio XXVII de César était une unité militaire romaine de la fin de la période républicaine, dont l’origine doit être liée au début de la guerre civile , lorsqu’elle était constituée par des émissaires de Gaius Julius Caesar (début 49 avant JC ). Sa formation doit être liée au déclenchement de la guerre civile. Elle a été formée par des émissaires de César (parmi lesquels il y avait Marc Antoine) avec des citoyens romains encadrés par des soldats experts de la legio X qui avaient combattu en Gaule. Fin décembre 49 avant JC, nous le trouvons à Brundisium, prêt à traverser la mer Adriatique avec d’autres légions. Début avril 48 av.J.-C., elle fut envoyée aux ordres du legatus legionis Lucio Cassius Longinus en Thessalie et en Étolie pour assurer ces territoires à Gaius Julius Caesar. Elle a participé peu après à la bataille de Dyrrhachium, et le 9 août suivant à la bataille décisive de Pharsale. Après l’entrée de Farsalo en Achaïe, puis à Rhodes, pour atteindre l’ Égypte en septembre 47 av.J.-C. sous les ordres de Quinto Fufio Caleno pour aider César dans la difficile situation égyptienne. Il est resté en Egypte jusqu’à peu de temps avant la mort de César (mars 44 avant JC). Lorsque le dictateur est mort, elle était en Syrie , prête à prendre des mesures dans la campagne planifiée par César contre les Parthes . Nous savons également qu’elle était en poste dans la province romaine de Macédoine, bien que nous ne sachions pas exactement quand. Probablement passé, avec d’autres légions déployées à l’Est, du côté de Gaius Cassius Longinus et aurait donc dû servir dans le domaine des césaricides dans la bataille de Philippes. Plus tard cette légion fut réintégrée parmi les forces des triumvirs participant alors à la bataille d’Actium (31 avant JC). Il semble avoir été dissous en 30 avant JC quand Octave a réformé l’armée romaine , ou au moins pas plus tard que 14 avant JC , quand entre 105 000 et 120 000 anciens combattants ont été démobilisés .
1796AN – Denier Marc Antoine – Marcus Antonius
Avers : ANT. AVG. III VIR. R. P. C (Antonius Augurus Triumvir Rei Publicæ Constituandæ, Antoine augure triumvir pour la restauration de la République) Trirème voguant à droite avec l’acrostolium. Revers : LEG XXX (De la Trentième Légion) Aigle légionnaire, “aquila” tournée à droite entre deux étendards, “signa”. BNF 3.35gr Indice de rareté Atelier Patras Datation : 32 – 31 avant J.C. Matière : Argent Gens : Antonia Référence : RRC 544/?? – B. 145 (Antonia) Historique : Marc Antoine, après avoir rompu avec Octave, joignit ses forces à celles de Cléopâtre et rencontra celles d’Octave à Actium (31 avant J.-C.). La flotte d’Octave, commandée par Agrippa, gagna la bataille navale tandis que la flotte égyptienne s’enfuyait, bientôt suivie par Antoine qui se retira en Égypte avant de se suicider l’année suivante avant l’arrivée d’Octave à Alexandrie. Pour l’ensemble des deniers des légions, M. Crawford a relevé une estimation de 864 coins de droit et de 960 coins de revers représentant une production massive, comprise entre deux et quatre millions de deniers. Le coût d’une légion était d’un million de deniers par an. Le navire de guerre de l’avers (source : marine-antique.net) : Il est quasiment identique sur toute la série. Il est figuré complet vers la droite. Il s’agit peut-être du navire amiral d’Antoine, un 5.De la coque sortent X rames figurées par un simple trait. A leur sommet un petit disque forme une série en surépaisseur de la préceinte haute. Celle-ci se prolonge vers la proue jusqu’à un proembolon et vers la poupe jusqu’à l’aplustre. On ne peut affirmer que chaque disque représente un sabord de nage car l’emplacement de certains à la proue et à la poupe seraient étranges.Les rames masquent la préceinte basse qui sert de support à l’éperon. Elle se situe peu au dessus de la quille. L’éperon de ce navire est un éperon trident à 3 lames. La proue verticale est une arme de combat doté de l’éperon trident et du proembolon. Elle est surmontée d’un faux-stolos à volute qui sert de protection au pont et à l’abri de proue qui est surmonté d’un étendard.La poupe s’élance vers l’arrière par une courbure légère. Elle se termine par un aplustre à 5 branches fixées sous un disque. Un abri sur le pont à la poupe fait la symétrie avec celui de la proue. Le gouvernail dispose de 4 globules sur son axe vertical. Sur le pont, entre les deux abris, on distingue X globules qui représentent la tête de passagers ou des marins. Legio XXX Classica La trentième Legion Classica (également Legio XXX) était une légion de l’armée romaine, qui a été fondée par Gaius Iulius Caesar peu après le début de la guerre civile en 49 avant J.C. La Légion était stationnée dans la péninsule ibérique depuis sa création. Les légions espagnoles, à l’exception de la Legio V nouvellement établie, étaient censées être sous le propaetor (gouverneur) Quintus Cassius Longinus en 48 av. Déplacé en Maurétanie pour lutter contre le roi rebelle Numid Juba I. Lorsque la Legio II se mutina, les légions XXX, XXI et V vinrent au secours de leur gouverneur à Cordoue. Après la punition des instigateurs, la Legio XXX a été transférée à Gibraltar, mais les émeutes ont continué à se propager. Une bataille a éclaté sur le Guadalquivir. Cassius se retira avec ses légions à Ulia (près de Cordoue), où il dut finalement se rendre avec honneur. La Légion a participé en 46 avant J.C. à la bataille de Thapsus et en 45 avant J.C. et peut-être participé à la bataille de Munda. Sous le commandement suprême du gouverneur de la province d’Hispanie arrière, Gaius Asinius Pollio, la légion prit environ 44/43 av. Dans les batailles contre Sextus Pompeius. Entre 42 et 31 avant JC, des vétérans de la Legio XXX Classica ont été installés dans la région autour de Bénévent et dans le sud de l’Italie ainsi que dans la Colonia Iulia Troas (près d’Alexandria Troas, dans l’ouest de la Turquie). Après la bataille d’Actium (31 avant JC) et la fin de la guerre civile, la Legio XXX Classica, comme de nombreuses autres légions, a été dissoute.
1790AN – Denier Marc Antoine – Marcus Antonius
Avers : ANT. AVG. III VIR. R. P. C (Antonius Augurus Triumvir Rei Publicæ Constituandæ, Antoine augure triumvir pour la restauration de la République) Trirème voguant à droite avec l’acrostolium. Revers : LEG XXIV (De la vingt-quatrième Légion) Aigle légionnaire, “aquila” tournée à droite entre deux étendards, “signa”. BNF 3.55gr Indice de rareté Atelier Patras Datation : 32 – 31 avant J.C. Matière : Argent Gens : Antonia Référence : RRC 544/?? – B. 139 (Antonia) Descriptif : Marc Antoine, après avoir rompu avec Octave, joignit ses forces à celles de Cléopâtre et rencontra celles d’Octave à Actium (31 avant J.-C.). La flotte d’Octave, commandée par Agrippa, gagna la bataille navale tandis que la flotte égyptienne s’enfuyait, bientôt suivie par Antoine qui se retira en Égypte avant de se suicider l’année suivante avant l’arrivée d’Octave à Alexandrie. Pour l’ensemble des deniers des légions, M. Crawford a relevé une estimation de 864 coins de droit et de 960 coins de revers représentant une production massive, comprise entre deux et quatre millions de deniers. Le coût d’une légion était d’un million de deniers par an. Le navire de guerre de l’avers (source : marine-antique.net) : Il est quasiment identique sur toute la série. Il est figuré complet vers la droite. Il s’agit peut-être du navire amiral d’Antoine, un 5.De la coque sortent X rames figurées par un simple trait. A leur sommet un petit disque forme une série en surépaisseur de la préceinte haute. Celle-ci se prolonge vers la proue jusqu’à un proembolon et vers la poupe jusqu’à l’aplustre. On ne peut affirmer que chaque disque représente un sabord de nage car l’emplacement de certains à la proue et à la poupe seraient étranges.Les rames masquent la préceinte basse qui sert de support à l’éperon. Elle se situe peu au dessus de la quille. L’éperon de ce navire est un éperon trident à 3 lames. La proue verticale est une arme de combat doté de l’éperon trident et du proembolon. Elle est surmontée d’un faux-stolos à volute qui sert de protection au pont et à l’abri de proue qui est surmonté d’un étendard.La poupe s’élance vers l’arrière par une courbure légère. Elle se termine par un aplustre à 5 branches fixées sous un disque. Un abri sur le pont à la poupe fait la symétrie avec celui de la proue. Le gouvernail dispose de 4 globules sur son axe vertical. Sur le pont, entre les deux abris, on distingue X globules qui représentent la tête de passagers ou des marins. LEG XXIV La legio XXIIII de César était une unité militaire romaine de la fin de la période républicaine , dont l’origine doit être liée au début de la guerre civile , lorsqu’elle était constituée par des émissaires de Gaius Julius Caesar (début 49 avant JC ). Sa formation doit être liée au déclenchement de la guerre civile . Il a été formé par des émissaires de César avec des citoyens romains de la Gaule Cisalpine , encadrés par des soldats experts des légions qui avaient combattu en Gaule. Il a presque certainement survécu jusqu’à la mort de César (15 mars 44 avant JC ), plus tard, des traces de cette légion ont été perdues. Ce pourrait être la même legio XXIIII qui a combattu dans la bataille d’Actium (31 avant JC) aux côtés de Marc Antoine. Suite à la réorganisation augustéenne de l’ensemble de l’ armée romaine , elle a été dissoute dans les années entre 30 et 14, au cours de laquelle entre 105000 et 120000 vétérans ont été libérés .
1757AN – Aureus Marc Antoine – Marcus Antonius
Avers : ANT. AVG. III VIR. R. P. C (Antonius Augurus Triumvir Rei Publicæ Constituandæ, Antoine augure triumvir pour la restauration de la République) Trirème voguant à droite avec l’acrostolium. Revers : LEG XIX (Legionis nonae decimae, de la dix-neuvième Légion) Aigle légionnaire, “aquila” tournée à droite entre deux étendards, “signa”. Auction 110 8.07gr Indice de rareté Atelier Patras Datation : 32 – 31 avant J.C. Matière : Or Gens : Antonia Référence : RRC 544/7 – B.134 (Antonia) Descriptif : Marc Antoine, après avoir rompu avec Octave, joignit ses forces à celles de Cléopâtre et rencontra celles d’Octave à Actium (31 avant J.-C.). La flotte d’Octave, commandée par Agrippa, gagna la bataille navale tandis que la flotte égyptienne s’enfuyait, bientôt suivie par Antoine qui se retira en Égypte avant de se suicider l’année suivante avant l’arrivée d’Octave à Alexandrie. Pour l’ensemble des deniers des légions, M. Crawford a relevé une estimation de 864 coins de droit et de 960 coins de revers représentant une production massive, comprise entre deux et quatre millions de deniers. Le coût d’une légion était d’un million de deniers par an. Le navire de guerre de l’avers (source : marine-antique.net) : Il est quasiment identique sur toute la série. Il est figuré complet vers la droite. Il s’agit peut-être du navire amiral d’Antoine, un 5.De la coque sortent X rames figurées par un simple trait. A leur sommet un petit disque forme une série en surépaisseur de la préceinte haute. Celle-ci se prolonge vers la proue jusqu’à un proembolon et vers la poupe jusqu’à l’aplustre. On ne peut affirmer que chaque disque représente un sabord de nage car l’emplacement de certains à la proue et à la poupe seraient étranges.Les rames masquent la préceinte basse qui sert de support à l’éperon. Elle se situe peu au dessus de la quille. L’éperon de ce navire est un éperon trident à 3 lames. La proue verticale est une arme de combat doté de l’éperon trident et du proembolon. Elle est surmontée d’un faux-stolos à volute qui sert de protection au pont et à l’abri de proue qui est surmonté d’un étendard.La poupe s’élance vers l’arrière par une courbure légère. Elle se termine par un aplustre à 5 branches fixées sous un disque. Un abri sur le pont à la poupe fait la symétrie avec celui de la proue. Le gouvernail dispose de 4 globules sur son axe vertical. Sur le pont, entre les deux abris, on distingue X globules qui représentent la tête de passagers ou des marins. LEGIO XIX Cette légion antonienne semble avoir été dissoute et ses troupes se sont soit retirées, soit ont fusionné avec les légions d’Octave après la réforme des armées par ce dernier après sa victoire à Actium.
1756AN – Aureus Marc Antoine – Marcus Antonius
Avers : ANT. AVG. III VIR. R. P. C (Antonius Augurus Triumviri Rei Publicæ Constituandæ, Antoine augure triumvir pour la restauration de la République) Trirème voguant à droite avec l’acrostolium. Revers : LEG XIV (de la quatorzième Légion) Aigle légionnaire, “aquila” tournée à droite entre deux étendards, “signa”. 8.09gr (Source Münzkabinett Berlin) Indice de rareté Atelier Patras Datation : 32 – 31 avant J.C. Matière : Or Gens : Antonia Références : RRC 544/6 – B.124 (Antonia) Descriptif : Marc Antoine, après avoir rompu avec Octave, joignit ses forces à celles de Cléopâtre et rencontra celles d’Octave à Actium (31 avant J.-C.). La flotte d’Octave, commandée par Agrippa, gagna la bataille navale tandis que la flotte égyptienne s’enfuyait, bientôt suivie par Antoine qui se retira en Égypte avant de se suicider l’année suivante avant l’arrivée d’Octave à Alexandrie. Pour l’ensemble des deniers des légions, M. Crawford a relevé une estimation de 864 coins de droit et de 960 coins de revers représentant une production massive, comprise entre deux et quatre millions de deniers. Le coût d’une légion était d’un million de deniers par an. Le navire de guerre de l’avers (source : marine-antique.net) : Il est quasiment identique sur toute la série. Il est figuré complet vers la droite. Il s’agit peut-être du navire amiral d’Antoine, un 5.De la coque sortent X rames figurées par un simple trait. A leur sommet un petit disque forme une série en surépaisseur de la préceinte haute. Celle-ci se prolonge vers la proue jusqu’à un proembolon et vers la poupe jusqu’à l’aplustre. On ne peut affirmer que chaque disque représente un sabord de nage car l’emplacement de certains à la proue et à la poupe seraient étranges.Les rames masquent la préceinte basse qui sert de support à l’éperon. Elle se situe peu au dessus de la quille. L’éperon de ce navire est un éperon trident à 3 lames. La proue verticale est une arme de combat doté de l’éperon trident et du proembolon. Elle est surmontée d’un faux-stolos à volute qui sert de protection au pont et à l’abri de proue qui est surmonté d’un étendard.La poupe s’élance vers l’arrière par une courbure légère. Elle se termine par un aplustre à 5 branches fixées sous un disque. Un abri sur le pont à la poupe fait la symétrie avec celui de la proue. Le gouvernail dispose de 4 globules sur son axe vertical. Sur le pont, entre les deux abris, on distingue X globules qui représentent la tête de passagers ou des marins. LEGIO XIV Cette légion antonienne semble avoir été dissoute et ses troupes se sont soit retirées, soit ont fusionné avec les légions d’Octave après la réforme des armées par ce dernier après sa victoire à Actium.
1755AN – Aureus Marc Antoine – Marcus Antonius
Avers : ANT. AVG. III VIR. R. P. C (Antonius Augurus Triumviri Rei Publicæ Constituandæ, Antoine augure triumvir pour la restauration de la République) Trirème voguant à droite avec l’acrostolium. Revers : LEG XIII (de la treizième Légion) Aigle légionnaire, “aquila” tournée à droite entre deux étendards, “signa”. Ars Classica 8.02gr Indice de rareté Atelier Patras Datation : 32 – 31 avant J.C. Matière : Or Gens : Antonia Références : RRC 544/5 Descriptif : Marc Antoine, après avoir rompu avec Octave, joignit ses forces à celles de Cléopâtre et rencontra celles d’Octave à Actium (31 avant J.-C.). La flotte d’Octave, commandée par Agrippa, gagna la bataille navale tandis que la flotte égyptienne s’enfuyait, bientôt suivie par Antoine qui se retira en Égypte avant de se suicider l’année suivante avant l’arrivée d’Octave à Alexandrie. Pour l’ensemble des deniers des légions, M. Crawford a relevé une estimation de 864 coins de droit et de 960 coins de revers représentant une production massive, comprise entre deux et quatre millions de deniers. Le coût d’une légion était d’un million de deniers par an. Le navire de guerre de l’avers (source : marine-antique.net) : Il est quasiment identique sur toute la série. Il est figuré complet vers la droite. Il s’agit peut-être du navire amiral d’Antoine, un 5.De la coque sortent X rames figurées par un simple trait. A leur sommet un petit disque forme une série en surépaisseur de la préceinte haute. Celle-ci se prolonge vers la proue jusqu’à un proembolon et vers la poupe jusqu’à l’aplustre. On ne peut affirmer que chaque disque représente un sabord de nage car l’emplacement de certains à la proue et à la poupe seraient étranges.Les rames masquent la préceinte basse qui sert de support à l’éperon. Elle se situe peu au dessus de la quille. L’éperon de ce navire est un éperon trident à 3 lames. La proue verticale est une arme de combat doté de l’éperon trident et du proembolon. Elle est surmontée d’un faux-stolos à volute qui sert de protection au pont et à l’abri de proue qui est surmonté d’un étendard.La poupe s’élance vers l’arrière par une courbure légère. Elle se termine par un aplustre à 5 branches fixées sous un disque. Un abri sur le pont à la poupe fait la symétrie avec celui de la proue. Le gouvernail dispose de 4 globules sur son axe vertical. Sur le pont, entre les deux abris, on distingue X globules qui représentent la tête de passagers ou des marins. LEGIO XIII Cette légion antonienne semble avoir été dissoute et ses troupes se sont soit retirées, soit ont fusionné avec les légions d’Octave après la réforme des armées par ce dernier après sa victoire à Actium.
1754AN – Aureus Marc Antoine – Marcus Antonius
Avers : ANT. AVG. III VIR. R. P. C (Antonius Augurus Triumviri Rei Publicæ Constituandæ, Antoine augure triumvir pour la restauration de la République) Trirème voguant à droite avec l’acrostolium. Revers : LEG XII (de la douzième Légion) Aigle légionnaire, “aquila” tournée à droite entre deux étendards, “signa”. Münzen und Medaillen (Basel, Switzerland) 7.93g Münzen und Medaillen (Basel, Switzerland) 7.93g Indice de rareté Atelier Patras Datation : 32 – 31 avant J.C. Matière : Or Gens : Antonia Référence : RRC 544/4 Descriptif : Marc Antoine, après avoir rompu avec Octave, joignit ses forces à celles de Cléopâtre et rencontra celles d’Octave à Actium (31 avant J.-C.). La flotte d’Octave, commandée par Agrippa, gagna la bataille navale tandis que la flotte égyptienne s’enfuyait, bientôt suivie par Antoine qui se retira en Égypte avant de se suicider l’année suivante avant l’arrivée d’Octave à Alexandrie. Le navire de guerre de l’avers (source : marine-antique.net) : Il est quasiment identique sur toute la série. Il est figuré complet vers la droite. Il s’agit peut-être du navire amiral d’Antoine, un 5.De la coque sortent X rames figurées par un simple trait. A leur sommet un petit disque forme une série en surépaisseur de la préceinte haute. Celle-ci se prolonge vers la proue jusqu’à un proembolon et vers la poupe jusqu’à l’aplustre. On ne peut affirmer que chaque disque représente un sabord de nage car l’emplacement de certains à la proue et à la poupe seraient étranges.Les rames masquent la préceinte basse qui sert de support à l’éperon. Elle se situe peu au dessus de la quille. L’éperon de ce navire est un éperon trident à 3 lames. La proue verticale est une arme de combat doté de l’éperon trident et du proembolon. Elle est surmontée d’un faux-stolos à volute qui sert de protection au pont et à l’abri de proue qui est surmonté d’un étendard.La poupe s’élance vers l’arrière par une courbure légère. Elle se termine par un aplustre à 5 branches fixées sous un disque. Un abri sur le pont à la poupe fait la symétrie avec celui de la proue. Le gouvernail dispose de 4 globules sur son axe vertical. Sur le pont, entre les deux abris, on distingue X globules qui représentent la tête de passagers ou des marins. LEGIO XII Élevé à l’origine par César en 58 av.J.-C., la legio XII a été reconstituée à la suite de l’assassinat du dictateur et a servi sous Antoine dans ses campagnes orientales. À la suite de la défaite d’Antoine à Actium, la légion semble avoir été dissoute et ses troupes se sont retirées ou ont fusionné avec les légions d’Octave. Le nom «Antiqua» n’est par ailleurs pas attesté, et la légion semble avoir été à l’origine nommée «Fulminata», un nom que le douzième réformé d’Octave a continué à porter. Le cognomen «Antiqua» peut avoir eu une signification purement locale pour la légion dans le contexte de l’armée d’Antoine.
1753AN – Aureus Marc Antoine – Marcus Antonius
Avers : ANT. AVG. III VIR. R. P. C (Antonius Augurus Triumviri Rei Publicæ Constituandæ, Antoine augure triumvir pour la restauration de la République) Trirème voguant à droite avec l’acrostolium. Revers : LEG VI (de la sixième Légion) Aigle légionnaire, “aquila” tournée à droite entre deux étendards, “signa”. BM 8.07gr Indice de rareté Atelier Patras Datation : 32 – 31 avant J.C. Matière : Or Gens : Antonia Références : RRC 544/3 – B.112 (Antonia) Descriptif : Marc Antoine, après avoir rompu avec Octave, joignit ses forces à celles de Cléopâtre et rencontra celles d’Octave à Actium (31 avant J.-C.). La flotte d’Octave, commandée par Agrippa, gagna la bataille navale tandis que la flotte égyptienne s’enfuyait, bientôt suivie par Antoine qui se retira en Égypte avant de se suicider l’année suivante avant l’arrivée d’Octave à Alexandrie. Pour l’ensemble des deniers des légions, M. Crawford a relevé une estimation de 864 coins de droit et de 960 coins de revers représentant une production massive, comprise entre deux et quatre millions de deniers. Le coût d’une légion était d’un million de deniers par an. Le navire de guerre de l’avers (source : marine-antique.net) : Il est quasiment identique sur toute la série. Il est figuré complet vers la droite. Il s’agit peut-être du navire amiral d’Antoine, un 5.De la coque sortent X rames figurées par un simple trait. A leur sommet un petit disque forme une série en surépaisseur de la préceinte haute. Celle-ci se prolonge vers la proue jusqu’à un proembolon et vers la poupe jusqu’à l’aplustre. On ne peut affirmer que chaque disque représente un sabord de nage car l’emplacement de certains à la proue et à la poupe seraient étranges.Les rames masquent la préceinte basse qui sert de support à l’éperon. Elle se situe peu au dessus de la quille. L’éperon de ce navire est un éperon trident à 3 lames. La proue verticale est une arme de combat doté de l’éperon trident et du proembolon. Elle est surmontée d’un faux-stolos à volute qui sert de protection au pont et à l’abri de proue qui est surmonté d’un étendard.La poupe s’élance vers l’arrière par une courbure légère. Elle se termine par un aplustre à 5 branches fixées sous un disque. Un abri sur le pont à la poupe fait la symétrie avec celui de la proue. Le gouvernail dispose de 4 globules sur son axe vertical. Sur le pont, entre les deux abris, on distingue X globules qui représentent la tête de passagers ou des marins. LEGIO VI Ferrata Élevé à l’origine par Jules César en Gaule cisalpine en 52 av. à la suite de l’assassinat de César, elle fut reconstitué par Marcus Aemilius Lepidus en 44 av.J.-C., et l’année suivante, son contrôle passa à Antoine. Elle a dû être dissoute, et ses troupes se sont soit retirées, soit ont fusionnées avec les légions d’Octave après la réforme des armées par ce dernier après sa victoire à Actium.
1752AN – Aureus Marc Antoine – Marcus Antonius
Avers : ANT. AVG. III VIR. R. P. C (Antonius Augurus Triumviri Rei Publicæ Constituandæ, Antoine augure triumvir pour la restauration de la République) Trirème voguant à droite avec l’acrostolium. Revers : LEG IV (de la quatrième Légion) Aigle légionnaire, “aquila” tournée à droite entre deux étendards, “signa”. BM 7.33gr Indice de rareté Atelier Patras Datation : 32 – 31 avant J.C. Matière : Or Gens : Antonia Références : RRC 544/2 – B.109 (Antonia) Descriptif : Marc Antoine, après avoir rompu avec Octave, joignit ses forces à celles de Cléopâtre et rencontra celles d’Octave à Actium (31 avant J.-C.). La flotte d’Octave, commandée par Agrippa, gagna la bataille navale tandis que la flotte égyptienne s’enfuyait, bientôt suivie par Antoine qui se retira en Égypte avant de se suicider l’année suivante avant l’arrivée d’Octave à Alexandrie. Pour l’ensemble des deniers des légions, M. Crawford a relevé une estimation de 864 coins de droit et de 960 coins de revers représentant une production massive, comprise entre deux et quatre millions de deniers. Le coût d’une légion était d’un million de deniers par an. Le navire de guerre de l’avers (source : marine-antique.net) : Il est quasiment identique sur toute la série. Il est figuré complet vers la droite. Il s’agit peut-être du navire amiral d’Antoine, un 5.De la coque sortent X rames figurées par un simple trait. A leur sommet un petit disque forme une série en surépaisseur de la préceinte haute. Celle-ci se prolonge vers la proue jusqu’à un proembolon et vers la poupe jusqu’à l’aplustre. On ne peut affirmer que chaque disque représente un sabord de nage car l’emplacement de certains à la proue et à la poupe seraient étranges.Les rames masquent la préceinte basse qui sert de support à l’éperon. Elle se situe peu au dessus de la quille. L’éperon de ce navire est un éperon trident à 3 lames. La proue verticale est une arme de combat doté de l’éperon trident et du proembolon. Elle est surmontée d’un faux-stolos à volute qui sert de protection au pont et à l’abri de proue qui est surmonté d’un étendard.La poupe s’élance vers l’arrière par une courbure légère. Elle se termine par un aplustre à 5 branches fixées sous un disque. Un abri sur le pont à la poupe fait la symétrie avec celui de la proue. Le gouvernail dispose de 4 globules sur son axe vertical. Sur le pont, entre les deux abris, on distingue X globules qui représentent la tête de passagers ou des marins. LEGIO IV La quatrième légion, surnommée scythique fut formée par Marc Antoine pour sa campagne contre les Parthes d’où son autre surnom, le cognomen Parthica. La IVe légion Scythe était toujours active en Syrie romaine au début du ve siècle. Le symbole de la légion était un capricorne. Les premiers faits d’armes de la légion Scythica sont mal connus quoiqu’il soit vraisemblable qu’elle ait pris part à la campagne de Marc Antoine contre les Parthes. Après la bataille d’Actium et le suicide d’Antoine, Octave déplace la légion vers le Danube en Mésie. Son surnom, apparu sous le règne d’Auguste, suggère qu’elle a également combattu les Scythes. La légion était probablement cantonnée à Viminacium et collaborait avec la Ve légion Macedonica. Outre les affaires militaires, la légion y accomplissait des tâches de génie civil tel que l’entretien des voies romaines. L’empereur Vespasien y a servi dans sa jeunesse.