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1772AN – Denier Marc Antoine – Marcus Antonius

Avers : ANT. AVG. III VIR. R. P. C (Antonius Augurus Triumviri Rei Publicæ Constituandæ, Antoine augure triumvir pour la restauration de la République) Trirème voguant à droite avec l’acrostolium. Revers : LEG VIIII (de la neuvième Légion) Aigle légionnaire, “aquila” tournée à droite entre deux étendards, “signa”. BNF 3.29gr Indice de rareté Atelier Patras Datation : 32 – 31 avant J.C. Matière : Argent Gens : Antonia Références : RRC 544/22 – B.115 (Antonia) Descriptif : Marc Antoine, après avoir rompu avec Octave, joignit ses forces à celles de Cléopâtre et rencontra celles d’Octave à Actium (31 avant J.-C.). La flotte d’Octave, commandée par Agrippa, gagna la bataille navale tandis que la flotte égyptienne s’enfuyait, bientôt suivie par Antoine qui se retira en Égypte avant de se suicider l’année suivante avant l’arrivée d’Octave à Alexandrie.  Pour la neuvième légion, nous avons deux présentations différentes avec LEG IX ou LEG VIIII, la seconde étant plus rare. Pour l’ensemble des deniers des légions, M. Crawford a relevé une estimation de 864 coins de droit et de 960 coins de revers représentant une production massive, comprise entre deux et quatre millions de deniers. Le coût d’une légion était d’un million de deniers par an. Contremarque : Exemplaire de ce denier avec une contremarque de Vespasien au droit (3.23gr _ 18.6mm) : Le navire de guerre de l’avers (source : marine-antique.net) :  Il est quasiment identique sur toute la série. Il est figuré complet vers la droite. Il s’agit peut-être du navire amiral d’Antoine, un 5.De la coque sortent X rames figurées par un simple trait. A leur sommet un petit disque forme une série en surépaisseur de la préceinte haute. Celle-ci se prolonge vers la proue jusqu’à un proembolon et vers la poupe jusqu’à l’aplustre. On ne peut affirmer que chaque disque représente un sabord de nage car l’emplacement de certains à la proue et à la poupe seraient étranges.Les rames masquent la préceinte basse qui sert de support à l’éperon. Elle se situe peu au dessus de la quille. L’éperon de ce navire est un éperon trident à 3 lames. La proue verticale est une arme de combat doté de l’éperon trident et du proembolon. Elle est surmontée d’un faux-stolos à volute qui sert de protection au pont et à l’abri de proue qui est surmonté d’un étendard.La poupe s’élance vers l’arrière par une courbure légère. Elle se termine par un aplustre à 5 branches fixées sous un disque. Un abri sur le pont à la poupe fait la symétrie avec celui de la proue. Le gouvernail dispose de 4 globules sur son axe vertical. Sur le pont, entre les deux abris, on distingue X globules qui représentent la tête de passagers ou des marins. LEGIO VIIII Cette légion antonienne semble avoir été dissoute et ses troupes se sont soit retirées, soit ont fusionné avec les légions d’Octave après la réforme des armées par ce dernier après sa victoire à Actium. Lieux de découverte (29 exemplaires) Enregistrer Enregistrer Galerie (deniers classés par ordre décroissant de masse) BnF: REP-21493 Source : Bibliothèque nationale de France Poids : 3.19g British Museum: R.9505 Source : British Museum Poids : 3.92g

1771AN – Denier Marc Antoine – Marcus Antonius

Avers : ANT. AVG. III VIR. R. P. C (Antonius Augurus Triumviri Rei Publicæ Constituandæ, Antoine augure triumvir pour la restauration de la République) Trirème voguant à droite avec l’acrostolium. Revers : LEG VIII (de la huitième Légion) Aigle légionnaire, “aquila” tournée à droite entre deux étendards, “signa”. BNF 3.81gr Indice de rareté Atelier Patras Datation : 32 – 31 avant J.C. Matière : Argent Gens : Antonia Références : RRC 544/21 – B.114 (Antonia) Descriptif : Marc Antoine, après avoir rompu avec Octave, joignit ses forces à celles de Cléopâtre et rencontra celles d’Octave à Actium (31 avant J.-C.). La flotte d’Octave, commandée par Agrippa, gagna la bataille navale tandis que la flotte égyptienne s’enfuyait, bientôt suivie par Antoine qui se retira en Égypte avant de se suicider l’année suivante avant l’arrivée d’Octave à Alexandrie.  Pour l’ensemble des deniers des légions, M. Crawford a relevé une estimation de 864 coins de droit et de 960 coins de revers représentant une production massive, comprise entre deux et quatre millions de deniers. Le coût d’une légion était d’un million de deniers par an. Le navire de guerre de l’avers (source : marine-antique.net) :  Il est quasiment identique sur toute la série. Il est figuré complet vers la droite. Il s’agit peut-être du navire amiral d’Antoine, un 5.De la coque sortent X rames figurées par un simple trait. A leur sommet un petit disque forme une série en surépaisseur de la préceinte haute. Celle-ci se prolonge vers la proue jusqu’à un proembolon et vers la poupe jusqu’à l’aplustre. On ne peut affirmer que chaque disque représente un sabord de nage car l’emplacement de certains à la proue et à la poupe seraient étranges.Les rames masquent la préceinte basse qui sert de support à l’éperon. Elle se situe peu au dessus de la quille. L’éperon de ce navire est un éperon trident à 3 lames. La proue verticale est une arme de combat doté de l’éperon trident et du proembolon. Elle est surmontée d’un faux-stolos à volute qui sert de protection au pont et à l’abri de proue qui est surmonté d’un étendard.La poupe s’élance vers l’arrière par une courbure légère. Elle se termine par un aplustre à 5 branches fixées sous un disque. Un abri sur le pont à la poupe fait la symétrie avec celui de la proue. Le gouvernail dispose de 4 globules sur son axe vertical. Sur le pont, entre les deux abris, on distingue X globules qui représentent la tête de passagers ou des marins. LEGIO VIII Cette légion antonienne semble avoir été dissoute et ses troupes se sont soit retirées, soit ont fusionné avec les légions d’Octave après la réforme des armées par ce dernier après sa victoire à Actium. Lieux de découverte (69 exemplaires) Enregistrer Enregistrer Galerie (deniers classés par ordre décroissant de masse) British Museum: 2002,0102.4883 Source : British Museum Poids : 3.62g British Museum: 1843,0116.185 Source : British Museum Poids : 3.51g

1770AN – Denier Marc Antoine – Marcus Antonius

Avers : ANT. AVG. III VIR. R. P. C (Antonius Augurus Triumviri Rei Publicæ Constituandæ, Antoine augure triumvir pour la restauration de la République) Trirème voguant à droite avec l’acrostolium. Revers : LEG VII (de la septième Légion) Aigle légionnaire, “aquila” tournée à droite entre deux étendards, “signa”. BNF 3.95gr Indice de rareté Atelier Patras Datation : 32 – 31 avant J.C. Matière : Argent Gens : Antonia Références : RRC 544/20 – B.113 (Antonia) – CRR.1224 Descriptif : Marc Antoine, après avoir rompu avec Octave, joignit ses forces à celles de Cléopâtre et rencontra celles d’Octave à Actium (31 avant J.-C.). La flotte d’Octave, commandée par Agrippa, gagna la bataille navale tandis que la flotte égyptienne s’enfuyait, bientôt suivie par Antoine qui se retira en Égypte avant de se suicider l’année suivante avant l’arrivée d’Octave à Alexandrie.  Pour l’ensemble des deniers des légions, M. Crawford a relevé une estimation de 864 coins de droit et de 960 coins de revers représentant une production massive, comprise entre deux et quatre millions de deniers. Le coût d’une légion était d’un million de deniers par an. Le navire de guerre de l’avers (source : marine-antique.net) :  Il est quasiment identique sur toute la série. Il est figuré complet vers la droite. Il s’agit peut-être du navire amiral d’Antoine, un 5.De la coque sortent X rames figurées par un simple trait. A leur sommet un petit disque forme une série en surépaisseur de la préceinte haute. Celle-ci se prolonge vers la proue jusqu’à un proembolon et vers la poupe jusqu’à l’aplustre. On ne peut affirmer que chaque disque représente un sabord de nage car l’emplacement de certains à la proue et à la poupe seraient étranges.Les rames masquent la préceinte basse qui sert de support à l’éperon. Elle se situe peu au dessus de la quille. L’éperon de ce navire est un éperon trident à 3 lames. La proue verticale est une arme de combat doté de l’éperon trident et du proembolon. Elle est surmontée d’un faux-stolos à volute qui sert de protection au pont et à l’abri de proue qui est surmonté d’un étendard.La poupe s’élance vers l’arrière par une courbure légère. Elle se termine par un aplustre à 5 branches fixées sous un disque. Un abri sur le pont à la poupe fait la symétrie avec celui de la proue. Le gouvernail dispose de 4 globules sur son axe vertical. Sur le pont, entre les deux abris, on distingue X globules qui représentent la tête de passagers ou des marins. LEGIO VII Cette légion antonienne semble avoir été dissoute et ses troupes se sont soit retirées, soit ont fusionné avec les légions d’Octave après la réforme des armées par ce dernier après sa victoire à Actium. Lieux de découverte (83 exemplaires) Enregistrer Enregistrer Galerie (deniers classés par ordre décroissant de masse) British Museum: R.9503 Source : British Museum Poids : 3.68g

1769AN – Denier Marc Antoine – Marcus Antonius

Avers : ANT. AVG. III VIR. R. P. C (Antonius Augurus Triumviri Rei Publicæ Constituandæ, Antoine augure triumvir pour la restauration de la République) Trirème voguant à droite avec l’acrostolium. Revers : LEG VI (de la sixième Légion) Aigle légionnaire, “aquila” tournée à droite entre deux étendards, “signa”. BNF 3.67gr Indice de rareté Atelier Patras Datation : 32 – 31 avant J.C. Matière : Argent Gens : Antonia Références : RRC 544/19 – B.111 (Antonia) – CRR.1223 Descriptif : Marc Antoine, après avoir rompu avec Octave, joignit ses forces à celles de Cléopâtre et rencontra celles d’Octave à Actium (31 avant J.-C.). La flotte d’Octave, commandée par Agrippa, gagna la bataille navale tandis que la flotte égyptienne s’enfuyait, bientôt suivie par Antoine qui se retira en Égypte avant de se suicider l’année suivante avant l’arrivée d’Octave à Alexandrie.  Pour l’ensemble des deniers des légions, M. Crawford a relevé une estimation de 864 coins de droit et de 960 coins de revers représentant une production massive, comprise entre deux et quatre millions de deniers. Le coût d’une légion était d’un million de deniers par an. Le navire de guerre de l’avers (source : marine-antique.net) :  Il est quasiment identique sur toute la série. Il est figuré complet vers la droite. Il s’agit peut-être du navire amiral d’Antoine, un 5.De la coque sortent X rames figurées par un simple trait. A leur sommet un petit disque forme une série en surépaisseur de la préceinte haute. Celle-ci se prolonge vers la proue jusqu’à un proembolon et vers la poupe jusqu’à l’aplustre. On ne peut affirmer que chaque disque représente un sabord de nage car l’emplacement de certains à la proue et à la poupe seraient étranges.Les rames masquent la préceinte basse qui sert de support à l’éperon. Elle se situe peu au dessus de la quille. L’éperon de ce navire est un éperon trident à 3 lames. La proue verticale est une arme de combat doté de l’éperon trident et du proembolon. Elle est surmontée d’un faux-stolos à volute qui sert de protection au pont et à l’abri de proue qui est surmonté d’un étendard.La poupe s’élance vers l’arrière par une courbure légère. Elle se termine par un aplustre à 5 branches fixées sous un disque. Un abri sur le pont à la poupe fait la symétrie avec celui de la proue. Le gouvernail dispose de 4 globules sur son axe vertical. Sur le pont, entre les deux abris, on distingue X globules qui représentent la tête de passagers ou des marins. LEGIO VI Ferrata Élevé à l’origine par Jules César en Gaule cisalpine en 52 av. à la suite de l’assassinat de César, elle fut reconstitué par Marcus Aemilius Lepidus en 44 av.J.-C., et l’année suivante, son contrôle passa à Antoine.  Elle a dû être dissoute, et ses troupes se sont soit retirées, soit ont fusionnées avec les légions d’Octave après la réforme des armées par ce dernier après sa victoire à Actium. Lieux de découverte (85 exemplaires) Enregistrer Enregistrer Galerie (deniers classés par ordre décroissant de masse) British Museum: 2002,0102.4881 Source : British Museum Poids : 3.62g British Museum: R.9502 Source : British Museum Poids : 3.31g

1768AN – Denier Marc Antoine – Marcus Antonius

Avers : ANT. AVG. III VIR. R. P. C (Antonius Augurus Triumviri Rei Publicæ Constituandæ, Antoine augure triumvir pour la restauration de la République) Trirème voguant à droite avec l’acrostolium. Revers : LEG V (de la cinquième Légion) Aigle légionnaire, “aquila” tournée à droite entre deux étendards, “signa”. BNF 3.82gr Indice de rareté Atelier Patras Datation : 32 – 31 avant J.C. Matière : Argent Gens : Antonia Références : RRC 544/18 – B.110 (Antonia) – CRR.1221 Descriptif : Marc Antoine, après avoir rompu avec Octave, joignit ses forces à celles de Cléopâtre et rencontra celles d’Octave à Actium (31 avant J.-C.). La flotte d’Octave, commandée par Agrippa, gagna la bataille navale tandis que la flotte égyptienne s’enfuyait, bientôt suivie par Antoine qui se retira en Égypte avant de se suicider l’année suivante avant l’arrivée d’Octave à Alexandrie.  Pour l’ensemble des deniers des légions, M. Crawford a relevé une estimation de 864 coins de droit et de 960 coins de revers représentant une production massive, comprise entre deux et quatre millions de deniers. Le coût d’une légion était d’un million de deniers par an. Le navire de guerre de l’avers (source : marine-antique.net) :  Il est quasiment identique sur toute la série. Il est figuré complet vers la droite. Il s’agit peut-être du navire amiral d’Antoine, un 5.De la coque sortent X rames figurées par un simple trait. A leur sommet un petit disque forme une série en surépaisseur de la préceinte haute. Celle-ci se prolonge vers la proue jusqu’à un proembolon et vers la poupe jusqu’à l’aplustre. On ne peut affirmer que chaque disque représente un sabord de nage car l’emplacement de certains à la proue et à la poupe seraient étranges.Les rames masquent la préceinte basse qui sert de support à l’éperon. Elle se situe peu au dessus de la quille. L’éperon de ce navire est un éperon trident à 3 lames. La proue verticale est une arme de combat doté de l’éperon trident et du proembolon. Elle est surmontée d’un faux-stolos à volute qui sert de protection au pont et à l’abri de proue qui est surmonté d’un étendard.La poupe s’élance vers l’arrière par une courbure légère. Elle se termine par un aplustre à 5 branches fixées sous un disque. Un abri sur le pont à la poupe fait la symétrie avec celui de la proue. Le gouvernail dispose de 4 globules sur son axe vertical. Sur le pont, entre les deux abris, on distingue X globules qui représentent la tête de passagers ou des marins. LEGIO V Alaudae Cette légion a été à l’origine levée par Jules César en Gaule transalpine; son nom, un mot d’emprunt gaulois, signifiant les «alouettes». Après la mort de César en 44 av.J.-C., elle a été reconstituée par Antoine. Elle a dû être dissoute, et ses troupes se sont soit retirées, soit ont fusionné avec les légions d’Octave après la réforme des armées par ce dernier après sa victoire à Actium. Lieux de découverte (90 exemplaires) [lea flet-marker lat=47.07035566140136 lng=6.954689025878906]2 exemplaires trésor de Dombresson (Suisse) / 3.43gr et 3.66gr[/leaflet-marker] Enregistrer Enregistrer Galerie (deniers classés par ordre décroissant de masse) British Museum: 2002,0102.4879 Source : British Museum Poids : 3.63g British Museum: R.9501 Source : British Museum Poids : 3.07g

1767AN – Denier Marc Antoine – Marcus Antonius

Avers : ANT. AVG. III VIR. R. P. C (Antonius Augurus Triumviri Rei Publicæ Constituandæ, Antoine augure triumvir pour la restauration de la République) Trirème voguant à droite avec l’acrostolium. Revers : LEG IV (de la quatrième Légion) Aigle légionnaire, “aquila” tournée à droite entre deux étendards, “signa”. BNF 3.80gr Indice de rareté Atelier Patras Datation : 32 – 31 avant J.C. Matière : Argent Gens : Antonia Références : RRC 544/17 – B.108 (Antonia) – CRR.1219 Descriptif : Marc Antoine, après avoir rompu avec Octave, joignit ses forces à celles de Cléopâtre et rencontra celles d’Octave à Actium (31 avant J.-C.). La flotte d’Octave, commandée par Agrippa, gagna la bataille navale tandis que la flotte égyptienne s’enfuyait, bientôt suivie par Antoine qui se retira en Égypte avant de se suicider l’année suivante avant l’arrivée d’Octave à Alexandrie.  Pour l’ensemble des deniers des légions, M. Crawford a relevé une estimation de 864 coins de droit et de 960 coins de revers représentant une production massive, comprise entre deux et quatre millions de deniers. Le coût d’une légion était d’un million de deniers par an. Le navire de guerre de l’avers (source : marine-antique.net) :  Il est quasiment identique sur toute la série. Il est figuré complet vers la droite. Il s’agit peut-être du navire amiral d’Antoine, un 5.De la coque sortent X rames figurées par un simple trait. A leur sommet un petit disque forme une série en surépaisseur de la préceinte haute. Celle-ci se prolonge vers la proue jusqu’à un proembolon et vers la poupe jusqu’à l’aplustre. On ne peut affirmer que chaque disque représente un sabord de nage car l’emplacement de certains à la proue et à la poupe seraient étranges.Les rames masquent la préceinte basse qui sert de support à l’éperon. Elle se situe peu au dessus de la quille. L’éperon de ce navire est un éperon trident à 3 lames. La proue verticale est une arme de combat doté de l’éperon trident et du proembolon. Elle est surmontée d’un faux-stolos à volute qui sert de protection au pont et à l’abri de proue qui est surmonté d’un étendard.La poupe s’élance vers l’arrière par une courbure légère. Elle se termine par un aplustre à 5 branches fixées sous un disque. Un abri sur le pont à la poupe fait la symétrie avec celui de la proue. Le gouvernail dispose de 4 globules sur son axe vertical. Sur le pont, entre les deux abris, on distingue X globules qui représentent la tête de passagers ou des marins. LEGIO IV La quatrième légion, surnommée scythique fut formée par Marc Antoine pour sa campagne contre les Parthes d’où son autre surnom, le cognomen Parthica. La IVe légion Scythe était toujours active en Syrie romaine au début du ve siècle. Le symbole de la légion était un capricorne. Les premiers faits d’armes de la légion Scythica sont mal connus quoiqu’il soit vraisemblable qu’elle ait pris part à la campagne de Marc Antoine contre les Parthes. Après la bataille d’Actium et le suicide d’Antoine, Octave déplace la légion vers le Danube en Mésie. Son surnom, apparu sous le règne d’Auguste, suggère qu’elle a également combattu les Scythes. La légion était probablement cantonnée à Viminacium et collaborait avec la Ve légion Macedonica. Outre les affaires militaires, la légion y accomplissait des tâches de génie civil tel que l’entretien des voies romaines. L’empereur Vespasien y a servi dans sa jeunesse. Lieux de découverte (54 exemplaires) Enregistrer Enregistrer Galerie (deniers classés par ordre décroissant de masse) British Museum: 2002,0102.4878 Source : British Museum Poids : 3.70g

1766AN – Denier Marc Antoine – Marcus Antonius

Avers : ANT. AVG. III VIR. R. P. C (Antonius Augurus Triumviri Rei Publicæ Constituandæ, Antoine augure triumvir pour la restauration de la République) Trirème voguant à droite avec l’acrostolium. Revers : LEG IIII (de la quatrième Légion) Aigle légionnaire, “aquila” tournée à droite entre deux étendards, “signa”. BNF 3.01gr Indice de rareté Atelier Patras Datation : 32 – 31 avant J.C. Matière : Argent Gens : Antonia Références : RRC 544/16 – B.107 (Antonia) Descriptif : Marc Antoine, après avoir rompu avec Octave, joignit ses forces à celles de Cléopâtre et rencontra celles d’Octave à Actium (31 avant J.-C.). La flotte d’Octave, commandée par Agrippa, gagna la bataille navale tandis que la flotte égyptienne s’enfuyait, bientôt suivie par Antoine qui se retira en Égypte avant de se suicider l’année suivante avant l’arrivée d’Octave à Alexandrie.  Pour l’ensemble des deniers des légions, M. Crawford a relevé une estimation de 864 coins de droit et de 960 coins de revers représentant une production massive, comprise entre deux et quatre millions de deniers. Le coût d’une légion était d’un million de deniers par an. Le navire de guerre de l’avers (source : marine-antique.net) :  Il est quasiment identique sur toute la série. Il est figuré complet vers la droite. Il s’agit peut-être du navire amiral d’Antoine, un 5.De la coque sortent X rames figurées par un simple trait. A leur sommet un petit disque forme une série en surépaisseur de la préceinte haute. Celle-ci se prolonge vers la proue jusqu’à un proembolon et vers la poupe jusqu’à l’aplustre. On ne peut affirmer que chaque disque représente un sabord de nage car l’emplacement de certains à la proue et à la poupe seraient étranges.Les rames masquent la préceinte basse qui sert de support à l’éperon. Elle se situe peu au dessus de la quille. L’éperon de ce navire est un éperon trident à 3 lames. La proue verticale est une arme de combat doté de l’éperon trident et du proembolon. Elle est surmontée d’un faux-stolos à volute qui sert de protection au pont et à l’abri de proue qui est surmonté d’un étendard.La poupe s’élance vers l’arrière par une courbure légère. Elle se termine par un aplustre à 5 branches fixées sous un disque. Un abri sur le pont à la poupe fait la symétrie avec celui de la proue. Le gouvernail dispose de 4 globules sur son axe vertical. Sur le pont, entre les deux abris, on distingue X globules qui représentent la tête de passagers ou des marins. LEGIO IIII La quatrième légion, surnommée scythique fut formée par Marc Antoine pour sa campagne contre les Parthes d’où son autre surnom, le cognomen Parthica. La IVe légion Scythe était toujours active en Syrie romaine au début du ve siècle. Le symbole de la légion était un capricorne. Les premiers faits d’armes de la légion Scythica sont mal connus quoiqu’il soit vraisemblable qu’elle ait pris part à la campagne de Marc Antoine contre les Parthes. Après la bataille d’Actium et le suicide d’Antoine, Octave déplace la légion vers le Danube en Mésie. Son surnom, apparu sous le règne d’Auguste, suggère qu’elle a également combattu les Scythes. La légion était probablement cantonnée à Viminacium et collaborait avec la Ve légion Macedonica. Outre les affaires militaires, la légion y accomplissait des tâches de génie civil tel que l’entretien des voies romaines. L’empereur Vespasien y a servi dans sa jeunesse. Lieux de découverte (13 exemplaires) Galerie (deniers classés par ordre décroissant de masse) British Museum: 2002,0102.4877 Source : British Museum Poids : 3.61g British Museum: R.9499 Source : British Museum Poids : 3.41g

1765AN – Denier Marc Antoine – Marcus Antonius

Avers : ANT. AVG. III VIR. R. P. C (Antonius Augurus Triumviri Rei Publicæ Constituandæ, Antoine augure triumvir pour la restauration de la République) Trirème voguant à droite avec l’acrostolium. Revers : LEG III (de la troisième Légion) Aigle légionnaire, “aquila” tournée à droite entre deux étendards, “signa”. BNF 3.99gr Indice de rareté Atelier Patras Datation : 32 – 31 avant J.C. Matière : Argent Gens : Antonia Références : RRC 544/15 – B.106 (Antonia) – CRR.1217 Descriptif : Marc Antoine, après avoir rompu avec Octave, joignit ses forces à celles de Cléopâtre et rencontra celles d’Octave à Actium (31 avant J.-C.). La flotte d’Octave, commandée par Agrippa, gagna la bataille navale tandis que la flotte égyptienne s’enfuyait, bientôt suivie par Antoine qui se retira en Égypte avant de se suicider l’année suivante avant l’arrivée d’Octave à Alexandrie.  Pour l’ensemble des deniers des légions, M. Crawford a relevé une estimation de 864 coins de droit et de 960 coins de revers représentant une production massive, comprise entre deux et quatre millions de deniers. Le coût d’une légion était d’un million de deniers par an. Curiosité : Une imitatation « barbare » de ce denier : 3.64gr _ 17.5mm Le navire de guerre de l’avers (source : marine-antique.net) :  Il est quasiment identique sur toute la série. Il est figuré complet vers la droite. Il s’agit peut-être du navire amiral d’Antoine, un 5.De la coque sortent X rames figurées par un simple trait. A leur sommet un petit disque forme une série en surépaisseur de la préceinte haute. Celle-ci se prolonge vers la proue jusqu’à un proembolon et vers la poupe jusqu’à l’aplustre. On ne peut affirmer que chaque disque représente un sabord de nage car l’emplacement de certains à la proue et à la poupe seraient étranges.Les rames masquent la préceinte basse qui sert de support à l’éperon. Elle se situe peu au dessus de la quille. L’éperon de ce navire est un éperon trident à 3 lames. La proue verticale est une arme de combat doté de l’éperon trident et du proembolon. Elle est surmontée d’un faux-stolos à volute qui sert de protection au pont et à l’abri de proue qui est surmonté d’un étendard.La poupe s’élance vers l’arrière par une courbure légère. Elle se termine par un aplustre à 5 branches fixées sous un disque. Un abri sur le pont à la poupe fait la symétrie avec celui de la proue. Le gouvernail dispose de 4 globules sur son axe vertical. Sur le pont, entre les deux abris, on distingue X globules qui représentent la tête de passagers ou des marins. LEGIO III C’était probablement la légion connue sous le nom de legio III «Gallica» formée par Jules César. Elle est connue pour avoir servi dans l’Est sous Antoine. Un candidat alternatif est la legio III «Cyrenaica» qui a peut-être été soulevée par Antoine lui-même; son nom indiquant son origine nord-africaine. Lieux de découverte (99 exemplaires) Enregistrer Enregistrer Enregistrer Galerie (deniers classés par ordre décroissant de masse) British Museum: 2002,0102.4875 Source : British Museum Poids : 3.58g British Museum: 2002,0102.4876 Source : British Museum Poids : 3.41g     Amis collectionneurs! Attention aux contrefaçons Copie moderne d’un aureus de Marc antoine vendue comme telle par Roma Numismatics, juillet 2015, 7.88g , 19 mm Source : https://www.colleconline.com/fr/items/63715/monnaie-antique-romaine-marc-antoine-aureus

1764AN – Denier Marc Antoine – Marcus Antonius

Avers : ANT. AVG. III VIR. R. P. C (Antonius Augurus Triumviri Rei Publicæ Constituandæ, Antoine augure triumvir pour la restauration de la République) Trirème voguant à droite avec l’acrostolium. Revers : LEG II (de la deuxième Légion) Aigle légionnaire, “aquila” tournée à droite entre deux étendards, “signa”. BNF 3.90gr Indice de rareté Atelier Patras Datation : 32 – 31 avant J.C. Matière : Argent Gens : Antonia Références : RRC 544/14 – B.105 (Antonia) – CRR.1216 Descriptif : Marc Antoine, après avoir rompu avec Octave, joignit ses forces à celles de Cléopâtre et rencontra celles d’Octave à Actium (31 avant J.-C.). La flotte d’Octave, commandée par Agrippa, gagna la bataille navale tandis que la flotte égyptienne s’enfuyait, bientôt suivie par Antoine qui se retira en Égypte avant de se suicider l’année suivante avant l’arrivée d’Octave à Alexandrie.  Pour l’ensemble des deniers des légions, M. Crawford a relevé une estimation de 864 coins de droit et de 960 coins de revers représentant une production massive, comprise entre deux et quatre millions de deniers. Le coût d’une légion était d’un million de deniers par an. Le navire de guerre de l’avers (source : marine-antique.net) :  Il est quasiment identique sur toute la série. Il est figuré complet vers la droite. Il s’agit peut-être du navire amiral d’Antoine, un 5.De la coque sortent X rames figurées par un simple trait. A leur sommet un petit disque forme une série en surépaisseur de la préceinte haute. Celle-ci se prolonge vers la proue jusqu’à un proembolon et vers la poupe jusqu’à l’aplustre. On ne peut affirmer que chaque disque représente un sabord de nage car l’emplacement de certains à la proue et à la poupe seraient étranges.Les rames masquent la préceinte basse qui sert de support à l’éperon. Elle se situe peu au dessus de la quille. L’éperon de ce navire est un éperon trident à 3 lames. La proue verticale est une arme de combat doté de l’éperon trident et du proembolon. Elle est surmontée d’un faux-stolos à volute qui sert de protection au pont et à l’abri de proue qui est surmonté d’un étendard.La poupe s’élance vers l’arrière par une courbure légère. Elle se termine par un aplustre à 5 branches fixées sous un disque. Un abri sur le pont à la poupe fait la symétrie avec celui de la proue. Le gouvernail dispose de 4 globules sur son axe vertical. Sur le pont, entre les deux abris, on distingue X globules qui représentent la tête de passagers ou des marins. LEGIO II Cette légion antonienne semble avoir été dissoute et ses troupes se sont retirées ou ont fusionné avec les légions d’Octave après la réforme des armées par ce dernier après sa victoire à Actium. Lieux de découverte (169 exemplaires) Enregistrer Enregistrer Galerie (deniers classés par ordre décroissant de masse) British Museum: 2002,0102.4873 Source : British Museum Poids : 3.53g British Museum: 1926,0116.1005 Source : British Museum Poids : 3.45g

1762AN – Denier Marc Antoine – Marcus Antonius

Avers : ANT. AVG. III VIR. R. P. C (Antonius Augurus Triumviri Rei Publicæ Constituandæ, Antoine augure triumvir pour la restauration de la République) Trirème voguant à droite avec l’acrostolium. Revers : CHORTIS SPECVLATORVM  Trois enseignes militaires sur chacune desquelles se trouvent deux couronnes, un bouclier et une proue de vaisseau. BNF 3.81gr Indice de rareté Atelier Patras Datation : 32 – 31 avant J.C. Matière : Argent Gens : Antonia Références : RRC 544/12 – B.103 (Antonia) – CRR.1214 Descriptif : Marc Antoine, après avoir rompu avec Octave, joignit ses forces à celles de Cléopâtre et rencontra celles d’Octave à Actium (31 avant J.-C.). La flotte d’Octave, commandée par Agrippa, gagna la bataille navale tandis que la flotte égyptienne s’enfuyait, bientôt suivie par Antoine qui se retira en Égypte avant de se suicider l’année suivante avant l’arrivée d’Octave à Alexandrie.  Pour l’ensemble des deniers des légions, M. Crawford a relevé une estimation de 864 coins de droit et de 960 coins de revers représentant une production massive, comprise entre deux et quatre millions de deniers. Le coût d’une légion était d’un million de deniers par an. Le navire de guerre de l’avers (source : marine-antique.net) :  Il est quasiment identique sur toute la série. Il est figuré complet vers la droite. Il s’agit peut-être du navire amiral d’Antoine, un 5.De la coque sortent X rames figurées par un simple trait. A leur sommet un petit disque forme une série en surépaisseur de la préceinte haute. Celle-ci se prolonge vers la proue jusqu’à un proembolon et vers la poupe jusqu’à l’aplustre. On ne peut affirmer que chaque disque représente un sabord de nage car l’emplacement de certains à la proue et à la poupe seraient étranges.Les rames masquent la préceinte basse qui sert de support à l’éperon. Elle se situe peu au dessus de la quille. L’éperon de ce navire est un éperon trident à 3 lames. La proue verticale est une arme de combat doté de l’éperon trident et du proembolon. Elle est surmontée d’un faux-stolos à volute qui sert de protection au pont et à l’abri de proue qui est surmonté d’un étendard.La poupe s’élance vers l’arrière par une courbure légère. Elle se termine par un aplustre à 5 branches fixées sous un disque. Un abri sur le pont à la poupe fait la symétrie avec celui de la proue. Le gouvernail dispose de 4 globules sur son axe vertical. Sur le pont, entre les deux abris, on distingue X globules qui représentent la tête de passagers ou des marins. CHORTIS SPECVLATORVM Ce revers inhabituel met en lumière un domaine de la vie militaire souvent méconnu. La cohorte de spéculateurs d’Antoine était ses éclaireurs, ses messagers et ses collecteurs de renseignements militaires, c’est-à-dire des espions. Chaque légion aurait normalement reçu dix spéculateurs, mais Antoine en forma une cohorte distincte avec une responsabilité spécifique envers le commandant en chef. Auguste a adopté et développé cette unité, et une cohorte de spéculateurs montés est devenue centrale pour la Garde prétorienne, et avait la tâche spécifique de garder la personne de l’empereur. La monnaie émise pour les spéculateurs variait du reste de la monnaie légionnaire de deux manières: premièrement, trois étendards sont indiqués au verso et aucun aigle. Cela peut indiquer qu’il ne s’agit pas d’une force «combattante», mais que c’était ce que nous appellerions une unité de soutien. La deuxième différence est que chacun des étendards est orné de deux couronnes et de la proue d’un navire. Cela peut refléter certaines fonctions spécifiques que les spéculateurs détenaient à l’égard de la marine, ou refléter leurs origines en tant que «vigies» à bord des navires. Sur les navires romains, ces guetteurs montaient une tourelle (spéculums) à l’arrière du navire. Lieux de découverte (16 exemplaires) Enregistrer Galerie (deniers classés par ordre décroissant de masse) British Museum: 1843,0116.188 Source : British Museum Poids : 3.56g British Museum: 1843,0116.174 Source : British Museum Poids : 3.54g